Sur les CPA, l’ITALIE a un GROS problème en défense

Les buts encaissés sur coups de pied arrêtés deviennent une véritable malédiction pour l’équipe d’Italie, un point faible récurrent selon la Gazzetta dello Sport. Cette faille a coûté à l’Italie la première place de son groupe en Ligue des Nations, en raison d’une différence de buts défavorable. Bien que qualifiés pour les quarts, les Italiens continuent de montrer des lacunes défensives sur ce type d’action. Après avoir gardé leur cage inviolée contre la Belgique à Bruxelles, une première en huit matchs, les espoirs d’une défense retrouvée semblaient permis. Cependant, lors du match contre la France à San Siro, deux buts encaissés de la tête – une première depuis 2013 – ont révélé des failles persistantes. Ces problèmes défensifs, notamment sur corners et coups francs, pèsent lourd face aux grandes nations.

Des exemples récents illustrent ces difficultés. Contre la Belgique, une avance de 2-0 a été gâchée par des buts de De Cuyper, d’abord sur coup franc, puis sur corner. À Udine, Israël a marqué sur corner. Enfin, contre la France, Rabiot a inscrit deux buts de la tête, l’un sur corner et l’autre sur coup franc, et une erreur sur un autre coup franc a conduit à un but contre son camp. Spalletti et son staff devront analyser et corriger cette faiblesse. Les milieux de terrain, tels que Barella et Frattesi, manquent de gabarit pour rivaliser physiquement avec les adversaires. Des ajustements tactiques et un travail intensif sur les coups de pied arrêtés sont indispensables pour que l’Italie puisse rester compétitive à haut niveau. Comme l’a souligné Federico Dimarco, « une équipe comme la nôtre ne peut pas se permettre d’encaisser autant de buts sur phases arrêtées. »

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